Un léger reflet se laisse deviné, mais il est trop rapide pour être certain.
Ma cible n'a pas remarqué que le canon de mon fusil est braqué dans sa direction. Je n'ai plus qu'à presser la détente et la volonté de l'Empereur s'abattra sur les hérétiques.
Doucement je commence à réciter ma litanie pour le corps et l'esprit
-Je ne connaîtrais pas la peur, car la peur est la petite Mort. Je ne connaîtrais pas la peur, car elle détruit l'esprit.
Je me tiendrais face à ma peur, je la laisserais passer sur moi, autour de moi, et lorsqu'elle sera passée, je me retournerais. Je serais seul sur son chemin, mais dans mon cœur, l'Empereur veillera sur moi et me guidera.
Mon doigt presse la détente et un coup part vers sa cible. Un assassin viens d'accomplir sa destinée.