Et voici l'une des deux grandes parties qui décidera en grande partie de l'avenir de la chronique.
Dansons, rions, ce soir c'est la guerre!
Que le sang coule à flot, que la foi me brule!
Que le fer et le feu, m'emporte et m'accule!
Dans la joie d'un crime sans fin sur cette terre...
Car il faut leur dire qu'en ce jour tant attendu,
Le dernier instant avant une nouvelle ère,
Voilà sans doute ce que les fils du fils sangsue,
A permis d'ouvrir les portes du vrai père!
Géniteur du changement, gloire du renouveau,
Lui qui permet de modifier le vrai comme le faux,
Lui qui libère des chaines de la normalité,
Lui qui délivrera par son souffle notre cécité.
Oh toi, être qui se pense justice et vérité,
Oh toi, être qui m'enchaine de tes lois,
Oh toi, qui désire ma perte et mon désarroi,
Oh toi, qui...
Je... vous... non... serv... je servirai... oui... vous avez raison... vous avez toujours eut raison... oui... je comprends... je leur ferai comprendre.